Côteaux de la Boivre

Sur les motifs du poème d'Alexander Blok écrit en 1918. Vous êtes des millions, notre nombre est infini, Essaierez-vous de vous battre contre nous ? Nous sommes les Scythes, les fiers fils d’Asie, Aux yeux bridés flamboyants de voyous. Votre

Forêts paisibles Sandrine, Lissandro Forêts paisibles, Forêts paisibles Jamais un vain désir ne trouble ici nos cœurs S’ils sont sensibles, s’ils sont sensibles Fortune, ce n’est pas au prix de tes faveurs Chœur Forêts paisibles, Forêts

L'évanouissement par excès d'esthétique, Beyle avait écrit pour un personnage féminin Lamiel du roman éponyme, qu'elle aimait mieux les plaisirs de la conversation plutôt que ceux de l'amour.

Moulinets À quel taux de charge, les pales des éoliennes tournent-elles au vent d'Ouest ? Les piliers comme des aiguilles portent d'énormes hélices. Le ciel est rayé vers le sud. Des phares clignotent pâles le jour, rouges la nuit.

[...] La rue noire, et la double ligne montante, décroissante, du gaz ; la rue sans passants ; le pavé sonore, blanc sous la blancheur du ciel clair et de la lune ; au fond, la lune sous le ciel ; le quartier allongé de la lune blanche, blanc ; et de

Sacrilège subtropical. Le nombril empoilé Les aisselles broussailleuses Les mollets duveteux Et qui sait un soupçon fin de moustache garçonne qui ponctue les lèvres peintes ? Et ce fourreau si noir vulvaire comme une voilure bouclée et

Ce poème de Maurice Fourré extrait de ce texte si beau La nuit du Rose-hôtel. **La vie a passé, d'une marche légère Elle a couru comme une ombre autour de la terre ; elle a vogué, comme une lumière sur les terres orientales. L'écume de la vague

Parmi les poussières accrues de leurs vétustés, Rêvant de choses disparues, Que vous disent les vieilles rues ?